lundi 8 mars 2010

la lithographie orthopédique

Parce que la nature est toujours la plus forte, il se trouve que la nécessité pousse à l'utilisation détournée de la lithographie.
Une pierre lithographique à l'épaisseur impeccable peut bien servir de repose-pieds.
La preuve :


Et quoi ?
Finalement sur ce morceau de sol bavarois, les petons de ma mère trouvent un repos (et une revanche ?) bien mérités.
Quant à moi, je reprends les hostilités de la couleur en essayant de couvrir l'encre un peu trop visible de ce tirage pourtant trop doux.
Dur donc pour l'aquarelle de venir dessus, mais elle y arrive la bougresse surtout si je m'applique à en user comme d'une gouache de luxe.
Et puis, tout de même ne pas trop masquer l'encre de mes lithographies car c'est bien elle qui porte mes pensées.




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